29/9/12

Femen et Pussy Riots : l’arnaque des seins nus.

Michel Garroté, réd en chef – Je lis (extraits adaptés ; cf. 1er lien en bas de page) que « Pour comprendre le fonctionnement de l’association FEMEN, une jeune journaliste de la télévision ukrainienne a intégré l’organisation et a participé à ses actions ‘seins nus’ en filmant ce qui se produisait avec une caméra cachée. Elle a suivi pendant plusieurs semaines une initiation professionnelle à l’art de la scène et aux relations publiques, apprenant à se comporter agressivement pour attirer l’attention des journalistes et se présenter comme une victime innocente. Le plus important, c’est d’être à l’aise en montrant ses seins au public lors des manifestations. La nouvelle recrue de FEMEN a fait ses débuts lors de l’action à Paris, où l’association a ouvert récemment un bureau. Les filles de FEMEN sont venues à Paris pour manifester. Le voyage à Paris était offert à la journaliste par l’organisation FEMEN.
Le billet d’avion, la chambre d’hôtel, les voyages en taxi et la nourriture coûtaient un millier d’euros par jour pour chacune des participantes, sans compter les frais de costumes, les services des maquilleurs et des stylistes. La journaliste a également découvert que les activistes de FEMEN sont payées 1’000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine. En outre, le loyer que l’association verse pour son bureau de Kiev s’élève à 2’500 dollars par mois, alors que le loyer mensuel du bureau parisien se monte à plusieurs milliers d’euros ». Concernant le financement et la manipulation de FEMEN, la journaliste pense « qu’il s’agit certainement de personnes qui apparaissent souvent aux côtés des militantes du mouvement. Il s’agirait notamment du milliardaire allemand Helmut Geier, de la femme d’affaires allemande Beat Schober et de l’homme d’affaires américain Jed Sunden » (fin des extraits adaptés ; cf. 1er lien en bas de page).
Et qu’en est-il des Pussy Riots ? Pour ce qui me concerne, j’ai tenté de démontrer que les médias européens, notamment français, nous racontaient n’importe quoi, sur ces nanas hurlant dans les cathédrales, nanas pas si innocentes que ça (cf. 2ème et 3ème liens en bas de page). Les lectrices et lecteurs trouveront, ci-dessous, une série d’informations très éclairantes, sur la face cachée des Pussy Riots, et, sur leur financement. A vrai dire, je ne suis pas du tout surpris. Je n’ai pas cru une seule seconde que des gamines russes et ukrainiennes, mono-neurones et complètement fauchées, finançaient elles-mêmes, leurs déplacements, voyages, logements, frais de bouche (désolé mais c’est comme ça qu’on dit), contacts avec les médias, relations publiques, communication, publicité, relations avec le show-biz, exhibitionnismes, danses du ventre et des nichons, hurlements, etc.
Des ONG américaines de gauche financées par l’administration Obama ont utilisé les Pussy Riot. Lu ici : L’ancien maire de New York, Ed Koch, a publié ses commentaires sur l’affaire « Pussy Riot », dans lesquels il approuve la décision du tribunal moscovite. Extraits adaptés de ces commentaires : L’élite culturelle occidentale se mobilise pour la défense des perturbateurs dans la cathédrale de Moscou. Certains approuvent l’attaque verbale contre Poutine. D’autres soutiennent la dénonciation de la direction de l’Église orthodoxe russe ainsi que les désordres dans l’édifice en raison du soutien que celle-ci fournit à Poutine. Tous ceux qui ont été cités caractérisent le problème comme étant celui de la liberté de parole. Ce n’est pas mon cas. Je suppose que bien des partisans des Pussy Riots adopteraient une position différente, et à juste titre, si ici, aux États-Unis, une église afro-américaine était envahie par trois hommes ou femmes se conduisant de la même façon, en profanant les endroits sacrés de l’église et en insultant le pasteur. Je me rappelle que lorsque j’étais maire en 1989, le groupe de militants du mouvement « Act up » (association de lutte contre le SIDA), injustement en colère contre le cardinal John O’Connor, a envahi la cathédrale Saint-Patrick et interrompu la messe, jetant par terre les hosties consacrées – qui, pour les catholiques, sont le véritable corps du Christ. Certains furent arrêtés. Pour autant que je puisse m’en rappeler, aucun n’a été puni. Je pense que la décision du tribunal russe de punir un délit de haine est juste et doit être applaudi, plutôt que condamné et ridiculisé. On peut certes discuter concernant le degré de sanction, se demander si des amendes n’auraient pas été plus opportunes que des peines de prison, mais cela est du ressort des procédures pénales russes, conclut Ed Koch.
L’ancien conseiller du président américain Ronald Reagan, économiste et écrivain, Paul Craig Roberts, déclare, quant à lui, que ce sont des ONG financées par Washington qui ont utilisé Pussy Riots pour nuire au gouvernement russe et même, selon son expression,  pour le diaboliser.
Sur le financement des Pussy Riot, cet article révèle (extraits adaptés) : On sait désormais que l’oligarque en exil Boris Berezovski aurait visiblement prémédité cette opération de communication en se servant des Pussy Riot pour porter un coup médiatique au Kremlin. L’ancien bras droit de ce dernier, Alex Goldfarb aurait selon ses propres dires collecté des fonds via la fondation internationale pour les droits civils, qu’il dirige mais qui a été créé par Boris Berezovski, et transféré ces mêmes fonds au projet Voice qui gère la défense des Pussy Riot à l’international. Mieux, des bruits courent, selon lesquels des fonds auraient aussi été levés afin qu’une grosse agence de communication anglaise puisse payer des stars du Show business à l’ouest, et ce afin de leur faire prendre position en faveur des Pussy Riot. Les naïfs qui pensaient  peut être que des stars courageuses pouvaient prendre position en faveur des punkettes doivent être bien déçus, la prise de position en faveur des Pussy Riot serait rétribuée près de 100.000 euros.
On s’en souvient, trois nanas – punks et givrées -, ont hurlé dans une cathédrale, avec des paroles telles que « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe » ou encore « merde, merde, merde du Seigneur ». Résultat : quelques intellos – du genre anciens nouveaux philosophes -, ainsi que quelques reliquats du chaud-bise en profitent pour attirer, sur leurs petites personnes, les caméras de télévision, du seul fait qu’ils se « mobilisent » en faveur des trois nanas punks et givrées. Conséquence : à en croire certains médias occidentaux, y compris français, l’on serait presque tenté d’imaginer que des millions de personnes de par le monde se « mobilisent » en faveur des Pussy Riot, en faveur de l’émeute des chattes, en faveur des hurlements punks dans les églises. Ci-dessous, l’on trouvera quelques analyses à contrecourant de ce syndrome des nichons punks christianophobes, en abrégé syndrome NPC (cf. les liens vers les sources en bas de page). La dernière des analyses que je reproduis ci-dessous, celle d’Alexandre Latsa, est absolument accablante pour les Pussy Riot et leurs véritables intentions.
Une militante du mouvement ukrainien Femen s’est jetée seins nus sur le patriarche de l’Eglise orthodoxe russe Kirill à sa descente d’avion à l’aéroport de Kiev, en Ukraine. Ne portant qu’un jean et les mots ‘Kill Kirill’ (Tuer Kirill) écrits en lettres noires sur son dos nu, la militante a couru en criant ‘Dehors !’ au le patriarche qui s’avançait sur le tarmac. La jeune femme a été placée en garde à vue et sera jugée en comparution immédiate pour hooliganisme. Le collectif Femen, qui lutte soi-disant pour la démocratie (christianophobe) et le droit des femmes (à hurler les seins nus), s’est rendu célèbre par ses manifestations topless. Sur son blog, l’association accuse le patriarche orthodoxe russe de vouloir renforcer l’influence de la Russie en Ukraine. Elle le met aussi en cause dans l’affaire de ‘l’arrestation illégale de militantes anti-poutine’, les Pussy Riot. Ce groupe de punks féministes avaient interprété une ‘prière anti-Poutine’ dans la principale cathédrale russe (en réalité elles n’ont pas ‘prié’ contre Poutine ; elles ont hurlé comme des folles au pied de l’autel de la cathédrale, ce qui n’a donc rien à voir avec une ‘prière contre Poutine’).
Pendant le culte du dimanche dans la cathédrale de Cologne, en Allemagne, les partisans du groupe de punk Pussy Riot ont ‘organisé une action’. Dans la matinée du 19 août, après l’homélie, ils se sont dirigés vers l’autel, en hurlant des slogans ‘Free Pussy Riot’ (libérez les Pussy Riot), indique la radio Deutsche Welle. Dans les mains des militants se trouvait une bannière avec l’inscription ‘Free Pussy Riot and all Prisoners’ (libérez les Pussy Riot et tous les prisonniers). Ils ont été gentiment mis dehors. Actuellement, ils font face à une inculpation pour la violation de la loi sur l’interdiction d’empêcher une cérémonie religieuse.
En réponse à la condamnation des Pussy Riot, des femmes punks ont profané un crucifix (ndmg – j’ai regardé une vidéo dans laquelle on aperçoit une femme punk scier à la tronçonneuse une immense croix). Une vidéo montre une action ‘d’éclat’ de militantes féministes de FEMEN, saccageant un crucifix sur les hauteurs de la ville de Majdanyj Nezalezhnosti, en Ukraine, en ‘protestation’ du procès fait au groupe féministe punk Pussy Riot coupable d’une profanation dans la cathédrale orthodoxe du Saint-Sauveur de Moscou. Une action ‘d’éclat’ qui a valu aux profanatrices un procès en bonne et due forme. On a beaucoup crié dans le monde à la défense de la ‘liberté d’expression’ de ces ‘pauvres jeunes filles’ et contre leur condamnation à deux ans d’internement pour incitation à la haine religieuse et vandalisme. La profanation n’est pas une « liberté » et son « expression » est un délit. D’autant quand on proteste de la condamnation d’une profanation par une nouvelle profanation.
Alexandre Latsa avait publié une analyse politiquement très incorrecte sur ce sujet : « La presse s’est passionnée pour un fait divers pourtant relativement sans importance : le dit procès des Pussy Riot. Reprenons les faits. Le 21 février 2012, 3 jeunes femmes encagoulées et déguisées envahissent la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou avec guitares et matériel sonores, et y entament une sorte de prière sous forme de chanson, blasphématoire et grossière (avec des paroles telles que « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe » ou encore « merde, merde, merde du Seigneur »), politiquement dirigée contre le candidat à l’élection présidentielle Vladimir Poutine, mais également contre le patriarche orthodoxe accusé de « croire en Poutine plus qu’en Dieu ». Les jeunes femmes sont rapidement interpellées, arrêtées et déférées devant un tribunal qui ordonne leur mise en détention préventive en attendant leur procès, qui a lieu actuellement ».
Alexandre Latsa : « L’église orthodoxe a de son côté réagi en organisant une grande manifestation autour de cette même cathédrale en avril dernier, manifestation dédiée à ‘la correction de ceux qui souillent les lieux sacrés et la réputation de l’Eglise’ et à laquelle ont pris part des dizaines de milliers de fidèles pour afficher leur soutien à l’église et au patriarche. Le ‘Main Stream’ médiatique a largement surmédiatisé cette affaire. Pour certains la Russie retournerait au moyen âge, quand d’autres estiment que le pouvoir ‘durcit sa répression’ qui serait dirigée contre la ‘société civile qui se mobilise’. Enfin la majorité des commentateurs ont estimé que les trois jeunes femmes seraient en prison à cause de ‘leur prière’ (ndmg – leurs hurlements) anti-Poutine. Le groupe Pussy Riot s’est créé en 2011 quand il a semblé clair à ces jeunes femmes que la Russie manquait cruellement d’émancipation politique et sexuelle. L’une des trois jeunes femmes arrêtées, Nadezhda Tolokonnikova, est par ailleurs une militante active LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) ».
Alexandre Latsa : « Les chansons du groupe traitent principalement des ravages de la routine dans la vie quotidienne, des conditions de travail difficiles pour les femmes et de la bonne façon de réprimer les hommes. Si beaucoup de journalistes français présentent les jeunes filles comme les victimes d’une Russie quasi-totalitaire, il faut néanmoins rappeler que les Pussy Riot ont plusieurs fois durant les derniers mois organisé des actions ‘coup de poing’ portant atteinte à l’ordre public. Pussy Riot n’est en outre pas seulement un groupe de rock, mais le volet musical d’un groupe anarchiste du nom de Voina (la guerre) qui ces derniers mois a revendiqué de nombreuses actions que l’on peut trouver ni ‘drôles’, ni ‘subversives’. Parmi elles l’organisation d’une orgie sexuelle avec des femmes enceintes dans un musée. Bien sûr donc, celles-ci ne sont pas en détention provisoire et jugée pour des délits d’opinion, contrairement à ce que l’on peut être amené à croire en lisant la presse internationale, mais parce qu’elles font face à une accusation de hooliganisme, punie de jusqu’à sept ans de prison en Russie ».
Alexandre Latsa : « Les commentateurs français qui lèvent les yeux au ciel lorsqu’ils prononcent cette durée de peine feraient bien de relire le code pénal français, et surtout l’article 322-3-1 qui punit de sept ans de prison et 100’000 € d’amende la dégradation d’un bien culturel exposé dans un lieu de culte. La Russie est un pays multiconfessionnel, pluriculturel, qui sort de relatives tensions interreligieuses et intercommunautaires suite à la dislocation de l’Union-Soviétique. C’est un pays victime du terrorisme fondamentaliste et qui maintient assez habilement et une cohabitation entre des groupes religieux et ethniques très variés, sur un territoire gigantesque. Plus que cela, au sortir de presqu’un siècle de dictature athéiste, le renouveau de la foi est quelque chose de particulièrement sensible. Le procès des Pussy Riot passionne plus les commentateurs étrangers que russes. De nombreuses figures de la société civile et de l’intelligentsia libérale russe ont manifesté leur soutien aux Pussy Riot, tout comme l’internationale du Show-bizness, allant des stars de musique internationalement connues comme Madonna, Sting, Patty Smith ou encore des acteurs américains comme Danny de Vito ».
Alexandre Latsa : « Vladimir Poutine est intervenu, appelant à la clémence et jugeant que les Pussy Riot avaient obtenu ce qu’elles souhaitaient, à savoir un battage médiatique fort. Ce faisant, il coupe l’herbe sous le pied à ceux qui ont affirmé que les Pussy Riot étaient enfermées pour des raisons politiques, car elles s’en seraient prises à lui via les paroles de leurs chansons (ndmg – de leurs hurlements dans une cathédrale). Mais malgré l’énorme battage médiatique qui est consacré à ce procès, seuls 15% des Russes sondés à ce sujet souhaitent que ces dernières soient amnistiées. Je reste donc perplexe face à cette affaire et je doute par ailleurs très sincèrement que nombre de commentateurs puissent trouver ‘drôle et subversive’ une action similaire dans une mosquée, notamment en France. On peut du reste se demander ce qui pousse des gens à aller importuner des croyants et à porter atteinte à l’intégrité de lieux de cultes », concluait, en substance, Alexandre Latsa.
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